« Pour bien piloter, il faut mieux mesurer. » Les données, qu'on appelle aussi indifféremment data, constituent une matière première. Quelle que soit leur typologie – chiffres, nombres, textes, sons, images ou même vidéos – si elles sont brutes, elles ne présentent pas grand intérêt et coûtent de l'argent, notamment pour leur stockage, sans en rapporter. Mais une fois raffinées, elles peuvent délivrer énormément de valeur.En intégrant la technologie des entrepôts de données (Data Warehouse), au processus décisionnel, cela constituerait un support pour avoir une vue claire sur les différentes activités de l'entreprise ce qui permet à chaque collaborateur de prendre des décisions data-driven, c'est-à-dire fondées sur les données, pour gagner en efficacité et en objectivité. L'économie numérique actuelle est caractérisée par la donnée, et plus précisément par la connaissance. Or, on a souvent entendu dire que « la connaissance, c'est le pouvoir » (knowledge is power). Cette affirmation n'a jamais été aussi pertinente qu'aujourd'hui. À l'heure du big data, ce qui sépare les bons décideurs des mauvais, c'est l'accès opportun à l'information.Notre projet répond à ce défi à travers une plateforme en tant que service (PaaS) (Platform as a Service) que nous proposons aux PME et TPE, comprenant des outils qui serviront à collecter, consolider, modéliser et restituer les données, matérielles et immatérielles d'une entreprise et ce, d'une façon très conviviale et automatisée, en vue d'offrir une aide à la décision et de permettre à un décideur d'avoir une vue d'ensemble de l'activité traitée à travers : un tableau de bord (dashboard) composé d'indicateurs, un reporting, du dataminig et de l'analytique en temps réel (OLAP). Il s'agit là de l'informatique décisionnelle ou du business intelligence (BI).